Dans les Alpes

NOUS DÉPOSONS À NOUVEAU UN PAS EN EUROPE 


Les montagnes se dessinent impressionnantes, presque intimidantes. Nous venons nous y abriter comme dans un sanctuaire. Après plus d’une année à longer rivières, fleuves et océans, nous quittons l’énergie fluide de l’eau pour entrer dans l’élément air. Charismatiques, puissantes, les Alpes nous imposent d’abord leur puissance. Nous sommes perturbés par l’absence de l’eau. Là, la roche peint les lignes tranchantes de ses arrêtes. Pourtant, les sommets invitent à lever le regard, à rejoindre le vol de l’aigle ou celui du gypaète. 



Les montagnes s’ouvrent alors à nous. Elles nous inspirent. Elles offrent un espace de sérénité au-delà de la dualité du monde. Le Val d’Hérens nous a accueillis dans toutes ses dimensions, que ce soit par la beauté des paysages ou de ses traditions. Les peluches du carnaval ont pris vie durant l’hiver. Fibie les a nommés les poilus et a pris peur lorsqu’ils sont sortis de leurs repères. Une partie d’elle devait les enfermer dans une grotte en haut dans la montagne pour se sentir en sécurité. Ce sont aussi l’énergie des druides et de ces lieux sacrés que nous avons pu rencontrer les sources hautement vibratoires, les vortex énergétiques, ou les sources d’eau chaude souterraines. Dans la nuit noire d’une grotte, le corps entre dans l’eau tiède qui sort du ventre de la terre, baignés au sein d’un liquide minéral. Les animaux seront aussi venus nous saluer, les chamois, bouquetins, cerfs, renards, chevreuils, blaireau, marmottes, ainsi que tous les oiseaux qui nous ont offert leurs sifflements chantants. 

                                                                                                

                                                                                                        Céline

___________________________________________


Inscription au blog et/ou à la newsletter:


Envie de nous offrir un café:


Suivez-nous également sur:



Commentaires

Articles les plus consultés